Le personnage de Virgile dans Le Roman de Dolopathos : le philosophe élu de Dieu

DOI : 10.54563/bdba.966

p. 111-120

Texte

Virgile au Moyen Âge est double : il est le plus grand poète antique, celui qu’on lit depuis des siècles ainsi qu’un personnage de fiction de la littérature. Mais ce personnage de littérature se redouble à nouveau devant la multitude de visages qu’on lui a prêté : dans le Mystère de saint Martial de Limoges, il est prophète, magicien dans le Speculum Historiale ou amoureux trahi dans Le Myreur des Histors. Cependannt, il existe un roman où ces différentes facettes sont exploitées en même temps : Le Roman de Dolopathos. Cette œuvre remonte à une longue tradition littéraire que l’on nomme « Les Sept Sages de Rome ». Le Roman des Sept Sages occupe ainsi dans le panorama de la littérature une place à peu près similaire à celle que l’on peut attribuer aujourd’hui aux célèbres contes des Mille et une nuits. Composé de contes enchâssés dans une histoire-cadre, cette fable est née en Orient dans l’Antiquité et a traversé les siècles jusqu’au Moyen Âge occidental. Elle appartient à ce que l’on appelle la « matière de Rome »1 : un genre qui se doit de conjuguer fable et histoire et prétend se faire l’écho des cités antiques en réactualisant les grands mythes grecs et latins.

Dix versions des Sept Sages nous sont parvenues, sans compter de nombreuses continuations dès le xiiie siècle2. Ces différentes versions s’orientent toutes vers un modèle de texte commun à but ludique, où l’on retrouve une intrigue classique de la littérature, de la Bible à Phèdre : celle de la femme de Putiphar. Mais une œuvre se détache singulièrement de ces dernières : un texte rédigé à la fin du xiie siècle par un moine cistercien, Jean de Haute-Seille et sa traduction en langue vernaculaire par un clerc lorrain, Herbert : Le Roman de Dolopathos. Se rattachant à la discipline de clergie, l’histoire se termine par un récit apologétique de deux mille vers, sur les treize mille que comporte l’œuvre, et aboutissant à la conversion du héros. Et c’est précisément dans ce roman hagiographique que le personnage de Virgile a été intégré. En effet, l’histoire est celle d’un roi qui envoie son fils héritier, Lucimien, le futur saint, à Rome auprès de Virgile afin que ce dernier devienne son précepteur. Dans ce texte où se côtoient fable païenne et fable chrétienne et où tout ce qui se rapporte à l’Antiquité est réinterprété en vue de l’annonce finale de la Bonne Nouvelle, Virgile est celui qui symbolise au mieux cette dualité et qui puisse inspirer un futur saint car il est dans ce roman précepteur, philosophe, astrologue et prophète, donc un détenteur du savoir, mais aussi le véritable scénariste de l’intrigue, guidé par Dieu.

En effet, l’histoire du Dolopathos est celle de Lucimien, confié à l’âge de raison au célèbre Virgile. Dolopathos, le père de Lucimien, pense, à l’opinion de Platon, que « les rois devraient être philosophes et les philosophes rois ». C’est pourquoi il confie l’éducation de son fils à Virgile, le grand poète.

A cel tens a Rome menoit
Uns philosophes ki tenoit
La renomee de clergie.
Saiges fut et de bone vie.
D’une des citeit de Cesille
Fut neiz ; on l’apelloit Virgille.
La citeit Mantue ot a non.
Virgille fut de grant renon.
Nulz clers de lui plus ne savoit,
Por ceu si grant renon avoit ;
Onques poetes ne fut teiz,
C’il creïst qu’i ne fust c’uns Deiz ! ( 1271-1282)3.

Ainsi Virgile, dans le Roman de Dolopathos, en plus de conférer au roman par son seul nom prestigieux une part de vérité historique, est également vu comme philosophe, poète et précepteur. C’est d’ailleurs dans l’exercice de cette fonction qu’on le rencontre pour la première fois :

Assiz estoit en sa cheieire ;
Une riche chaipe fouree
Sen mainches avoit afublee
Et s’ot an son chief un chaipeil
Ke fut d’une molt riche peil ;
Trait ot arier son chaipiron.
Li enfant de main haut baron
Devant lui a terre seoient
Ke ces parolles escoutoient,
Et chescuns son livre tenoit. (v. 1332-1341)

Le Roman de Dolopathos est une œuvre comparable sur bien des points aux romans courtois dont les lecteurs se délectaient à l’époque, à l’exception faite qu’il est sorti explicitement du sérail monastique avec Jean de Haute-Seille. Alors du célèbre couple clergie/chevalerie du prologue de Cligès de Chrétien de Troyes4, nos deux auteurs ne vont retenir que la clergie et faire de leur propos, en plus d’une apologie du christianisme, un éloge de la discipline de clergie.

La clergie est avant tout un monde où la maîtrise des arts du raisonnement et du langage l’emporte sur les faits d’armes. La version du Dolopathos nous offre ainsi un bel exemple de la façon dont un clerc peut devenir, à l’image des chevaliers, une figure héroïque. Et rien de tout cela ne pourrait arriver sans le personnage de Virgile sur lequel toute la clergie du roman repose. Virgile est donc ici « Uns philosophes ki tenoit/La renomee de clergie./ Saiges fut et de bone vie. » (v. 1272-74). Il domine les autres sages et est le grand garant de l’aventure, comme nous le verrons ultérieurement. La discipline de clergie est alors indissociable de la matière de Rome et cela, grâce à la présence de Virgile. En effet, toute l’intrigue du roman se déroule à Palerme à l’exception de l’apprentissage de Lucimien chez Virgile, faisant déplacer l’enfant et donc l’intrigue, de Palerme à Rome. Virgile y est un précepteur qui enseigne à ses élèves un cursus classique, comprenant les sept arts libéraux et en particulier le trivium : grammaire, rhétorique et dialectique. Ce dernier décide d’instruire Lucimien. L’élève démontre bien vite des aptitudes exceptionnelles ; Virgile lui compose alors un petit livre qui résume en un seul volume les arts libéraux de telle sorte qu’il soit possible de les apprendre en trois ans alors qu’une vie n’y suffirait pas en temps normal. Nous reparlerons plus tard de cet énigmatique ouvrage. En attendant, Lucimien et Virgile semblent privilégier tout particulièrement deux disciplines : la grammaire et l’astrologie. La grammaire est ici « mère » des arts, comme le dit Herbert : « Premier li ensigne graimaire, ke meire est et prevoste et maire de toutes les ars liberalz » (v. 1433-36), quant à l’astrologie, elle devient rapidement la matière de prédilection de Lucimien. Mais pour éviter toute confusion avec une pratique païenne, Herbert la place tout de suite sous l’autorité de Dieu :

La chose ki est avenue
Puet estre bien aikes seüe ;
Je ne cuis k’i pust avenir,
Pust on savoir sarteinnemant,
Se par Deu non outreennemant,
Sil par cui l’aisnesse parlait
Kant li aingeles ver lui alait,
Et par la bouche Barlaam,
Ke devinerres fut maint an,
Benoït lou puple Israel,
Ki s’aparuit a Moÿcel,
C’est Deus, ki tot seit et tot voit. (v. 1153-68)

L’astrologie est une science ayant des règles proches de celles de la grammaire, notamment dans l’interprétation de sa lecture herméneutique qui ne s’adresse qu’à des initiés. Elle est donc narrative car après être lus, les événements sont ensuite interprétés puis retransmis par la parole. C’est là aussi le propre de la prophétie biblique que d’être relatée sous forme de récit par un autre énonciateur que le dieu qui fait part de son savoir, qu’il soit prophète ou astrologue. Dieu livre ses secrets dans un même geste, astrologie et prophétie confondues.

Car Virgile est aussi un prophète. En effet, dans les deux mille derniers vers du roman qui constituent le récit apologétique, un sage énumère les païens qui avaient perçu l’arrivée du Christ, et notamment Virgile :

Et Virgile, ki vos aprist,
Or penceiz a ceu k’il an dist !
Asseiz an parlait propremant
Et bien et beil et saigemant ;
Il dist ke novelle ligniee
Estoit jai de ciel anvoieie.
(v. 12553-58)

Virgile est donc ici le prophète du Christ, ainsi que le proclama l’empereur Constantin. Jean de Haute-Seille se sert donc ici de l’interprétation que l’histoire chrétienne a fait de Virgile, celui de l’Annonciateur et sur lequel la critique s’est longtemps attardée. Le Virgile est ici un clerc-philosophe dont la valeur est unanimement reconnue, que ce soit par les païens ou les chrétiens du roman. Mais ce dernier va également dépasser ces représentations classiques de Virgile car, plus qu’un précepteur, un philosophe ou un magicien, Virgile est ici l’instrument de Dieu qui, étant ainsi conscient et omniscient, va mettre en scène toute l’intrigue du Roman de Dolopathos. En effet, en apprenant l’astrologie à Lucimien, c’est toute l’action du roman qu’il va nouer et diriger. C’est en lisant dans les étoiles la mort tragique de sa mère et le remariage de son père que Lucimien va retourner à sa vie d’héritier à Palerme. Au moment du départ et sous le couvert d’une curieuse preuve d’affection et de fidélité, Virgile demande au jeune homme de garder le silence jusqu’à leur prochaine rencontre :

Jureit l’ais et je te comant,
Faire dois mon comandemant :
Puis ke de moi depertirais
De ta bouche ne parlerais
Un soul mot a nulle meniere,
Ne pour amor ne pour proiere,
Ne pour destresse an coi tu soiez,
Jusc’a la ke tu me revoiez. (v. 2241-48)

Cette étrange demande restera ainsi énigmatique jusqu’à la fin du roman, soit la conversion. Ainsi, lorsque Lucimien retrouve son père et que ce dernier se rend compte que son fils est muet, il s’en prend d’abord à Virgile :

Ahy, Virgille, ahi, ahy !
Deceüt m’aveiz et traït ;
Mantit m’aveiz a ceste fois. (v. 3477-79)

Il confie donc son fils à sa nouvelle femme qui pense pouvoir lui rendre la parole. Mais cette dernière tombe sous le charme de Lucimien et lorsqu’il repousse ses avances, elle crie au viol et accuse le jeune homme. Le roi condamne alors son fils au bûcher qui, toujours muet, ne peut se défendre. C’est alors que vont se succéder, chaque jour, l’arrivée de sept sages, pour tenter d’empêcher cette exécution. Le silence de Lucimien, commandé par Virgile, va donc mettre en marche toute l’intrigue du roman et le pourquoi de l’insertion des contes qui représentent plus de 40% du corps du texte. C’est à ce moment là que Virgile revient sur la scène de l’œuvre, en tant que huitième et dernier sage à venir se présenter au roi. Avant toute preuve de son innocence il libère Lucimien de ses liens, le couvre d’un vêtement, entame un dernier conte et surtout lui rend la parole. Virgile a donc ainsi orchestré toute l’intrigue du roman : de l’éducation de Lucimien et de l’orientation de son destin en lui apprenant l’astrologie à son ascèse forcée et artificielle, indispensable à la présence des sept sages et donc des contes enchâssés, mais surtout comme étape nécessaire pour parvenir à l’illumination et à la conversion. Voilà donc un roman emblématique de l’idéal de la littérature hagiographique : lorsque, aux sources mêmes de l’intrigue, fiction et prédication de la vérité s’entrecroisent. Rien de tout cela n’aurait été possible sans la présence de Virgile.

Dans les autres versions du Roman des Sept Sages, Virgile n’est pas un personnage mais un conte : Virgilius, que l’on retrouve dans six versions de la tradition. Cette histoire dépeint les merveilles édifiées à Rome par Virgile : la plus importante étant celle d’un miroir magique qui permet de surveiller l’empire et de prévenir d’éventuelles attaques contre Rome. Virgile pénètre alors dans le monde des exempla, comme le cite Jacques Berlioz5. Mais cette image de Virgile n’est pas celle qu’a retenue Jean de Haute-Seille, sans doute pour ne pas donner une image « moins acceptable » qu’est le Virgile magicien, pour reprendre l’expression d’André Vernet6, et qui n’aurait pas eu sa place dans un roman de clergie. Mais Jean de Haute-Seille a tout de même évoqué une autre facette possible de ce personnage polymorphe qu’est Virgile dans le Roman de Dolopathos, car ce dernier va y rédiger un livre étrange où il concentre toutes ses connaissances :

Cant li maistres a perceüt
Son legier sent et coneüt,
Plus l’en ainme et plus l’en tient chier.
Dont vait toz ces livres cerchier,
Torne ces fuelles et retorne,
Les .VII. ars liberaus atorne
An un volime si petit,
Si com li ystore me dist,
Il lou poïst bien tot de plain
Anclore et tenir an sa main.
Ke cel petit livret avroit,
Les .VII. ars liberaul savroit
Dedans .III. ans delivremant
Or nes puet nulz antieremant
Savoir an trestote sa vie,
Se Damedeu ne l’en aïe.
Virgiles aime molt cel livre,
Ses amis est qui il le livre
! (v. 1405-1422)

Livre, qu’il emportera jusqu’à la mort :

An cel an meÿmes avint
Ke Virgiles partit de vie.
Ains ne remeist por sa maistrie.
La mors n’espargne fol ne saige,
La mors prant partout son paisaige.
Cant il vit ke morir dovoit,
Les livres des arz k’il avoit,
Ke fait fut por Lucimïen,
Anclost dedans son poig si bien,
Par angin et par nigromance
Dont il sot toute la scïence,
C’onques nulz nes an pot osteir,
De sa main nes pot on geteir.
Li un dïent ke par anvie
Fist Virgiles teil vilonnie,
Et li autres dïent por voir
Ke ceu fist il par grant savoir :
Trop eüst son sent abaixiet
Ce ces livres eüst laixiet,
Trop ceüst on legieremant
Toutes les arz antieremant,
Ne ja mais clerz ke les seüst
De part elles honor n’eüst ;
Tan con or sont plus assaucïez
Fuissent elles plus esvillïez. (v. 11412-11436)

Ce petit livre nous rapporte indubitablement à la tradition littéraire de Virgile magicien. C’est là où Jean de Haute-Seille rejoint cette même tradition et figure de Virgile le magicien. Mais notre moine cistercien ne s’égare pas pour autant dans une vulgaire magie païenne et relevant de besoins bassement humains, tels que fabriquer une mouche de bronze pour chasser les mouches de Naples, ou le clocher mouvant de Vincent de Beauvais7 et autres annecdotes rapportées dans le Compendiloquium de Jean de Galles et le Liber de vita et moribus philosophorum de Walter Burley. Car cette merveille du petit livre fait partie des dons de Virgile les moins exploités de toute la littérature de Virgile magicien. C’est d’ailleurs, la seule fois dans tout le roman où l’on prête à Virgile quelque pouvoir surnaturel : « Par angin et par nigromance/Dont il sot toute la scïence ».

Comment ne pas rapprocher ce petit ouvrage de saint Alexis qui écrivit lui aussi un livre secret ? Au-delà de ce miracle d’appartenance profane, Virgile, en grande figure de l’Antiquité, redouble ainsi dans sa mort avec celle du premier grand saint de la littérature vernaculaire : Alexis. Ce dernier, a lui aussi rédigé un livre dans lequel il a retransmis toute son histoire :

Trente quatre anz ad si sun cors penét,
Deus sun servise li volt guereduner,
Mult li angreget la sue anfermetét :
Ot set il bien qued il s’en deit aler,
Cel son servant ad a sei apelét :
- Quer mei, bel frere, ed enca e parcamin
Ed une penne, ço pri, tüe mercit. –
Cil li aportet, receit Aleïs,
Escrit la cartra tute de sei medis
Cum s’en alat e cum il s’en revint.
Tres ei la tint, ne la volt demustrer,
Ne reconuissent usque il s’en seit alét ; (v. 277-287)8

À sa mort, il tient lui aussi au creux de sa main son livre, et qu’on ne peut lui arracher :

Les dras suzlevet dum il esteit cuvert,
Vit del sain home le vis e cler e bel,
En sum puing tint le cartre le Deu serf
U a escrit trestut le suen convers :
Eufemïen volt saveir quet espelt.
Il la volt prendra, cil ne li volt guerpir,
A l’apostolie revint tuz esmeriz :
- Ore ai trovét ço que tant avums quis,
Suz mun degrét gist uns mors pelerins,
Tent une cartre mais na li puis tolir. (v346-355)8

Ce livre, tout comme celui de Virgile, ne s’adresse qu’à un lecteur unique, seul digne de ce qu’il contient : Lucimien pour Virgile et le Pape pour Alexis. Le jeu de la parole et du silence se redouble ainsi dans cette image paradoxale d’un livre qui ne peut être lu que par une seule personne et conçu pour disparaître. C’est un peu le livre du Graal et le personnage de Virgile sert ici à tendre un pont entre l’Antiquité et le Moyen Âge, entre le monde païen et le monde chrétien. C’est que Virgile est ici le personnage sur lequel la « matière de Rome » repose : il est le poète prodige et philosophe, le précepteur d’un futur saint. Il est aussi celui qui, en tant qu’instrument de Dieu, lancera la conversion du Lucimien, réglant ainsi au passage toute la structure du roman, des contes enchâssés à l’illumination finale. Car la conversion de Lucimien, orchestrée de part en part par Virgile, est donc ici l’avènement qui va articuler le passage de l’Antiquité au Moyen Âge chrétien, et tout cela à travers le symbole de ce petit livre mystérieux transmis par Virgile. « La prose, à sa naissance proprement littéraire, témoigne d’une nouvelle conception de l’écriture et d’un nouveau statut du livre. Appendu à la vérité comme sa manifestation même, l’écrit ne peut venir que de Dieu9. »

Notes

1 « Ne sont que .III. matieres a nul home antandant :/ De France et de Bretaigne et de Rome la grant », Bodel, Jean, Chanson des Saisnes, Genève : Editions A. Brasseur, 1989, vv. 6-7. Retour au texte

2 Pour une étude sur la tradition du Roman des Sept Sages, nous vous renvoyons à l’excellent ouvrage de Yasmina Foehr-Janssens : Le Temps des fables. Le Roman des Sept Sages ou l’autre voie du roman, Paris : Honoré Champion Editeur, (coll. Nouvelle bibliothèque du Moyen Âge), 1994, 545 p. Retour au texte

3 Herbert, Le Roman de Dolopathos, Ed. de Jean-Luc Leclanche, Paris : Honoré Champion Editeur, 1997, 3 vol., 680 p. Retour au texte

4 « Ce nos ont nostre livre apris/Qu’en Grece ot de chevalerie/Le premier los et de clergie./Puis vint chevalerie a Rome/Et de la clergie la some, Qui or est en France venue », Chrétien de Troyes, Cligès, Ed. d’Alexandre Micha, Paris : Honoré Champion Editeur, 1982, v. 28-33. Retour au texte

5 Berlioz, Jacques, « Virgile dans la littérature des exempla », in : Lectures médiévales de Virgile, Paris : Ecole Française de Rome, 1985, p. 93. Retour au texte

6 Vernet, André, « Virgile au Moyen Âge », in : Comptes rendus de l’Académie des inscriptions, 1992, p. 762. Retour au texte

7 Vincent de Beauvais, Speculum Historiale, Ed. de Jean Mentelin, Strasbourg, 1473, livre VII, chap. 60-63. Retour au texte

8 La Vie de saint Alexis, Ed. de Maurizio Perugi, Genève : Editions Droz, 2000, 319 p. Retour au texte

9 Mela, Charles, La Reine et le Graal, Paris : Editions du Seuil, 1984, p. 176. Retour au texte

Citer cet article

Référence papier

Alexandra-Flora Pifarre, « Le personnage de Virgile dans Le Roman de Dolopathos : le philosophe élu de Dieu », Bien Dire et Bien Aprandre, 24 | 2006, 111-120.

Référence électronique

Alexandra-Flora Pifarre, « Le personnage de Virgile dans Le Roman de Dolopathos : le philosophe élu de Dieu », Bien Dire et Bien Aprandre [En ligne], 24 | 2006, mis en ligne le 01 mars 2022, consulté le 18 mai 2024. URL : http://www.peren-revues.fr/bien-dire-et-bien-aprandre/966

Auteur

Alexandra-Flora Pifarre

Université de Savoie

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