A. Planche, « Culture et contre-culture dans l’Épinette amoureuse de Jean Froissart : les écoles et les jeux », dans L’Enfant au Moyen Âge :…
B. Ribémont, « Les realia : un concept à définir. L’exemple de l’Espinette amoureuse de Froissart (les jeux de l’enfance) », dans Les “Realia” dans…
H. Bellon-Méguelle, Du Temple de Mars à la chambre de Vénus : le beau jeu courtois dans les Vœux du Paon, Paris, Champion, 2008 (Essais sur le Moyen…
J.-M. Mehl, « Les jeux de l’enfance au Moyen Âge », dans La Petite Enfance dans l’Europe médiévale et moderne. Actes des XVIe Journées…
Pour une datation récente, cf. l’introduction de Jean Froissart, L’Épinette amoureuse, trad. N. Bragantini-Maillard, Paris, Classiques Garnier, 2014…
Toutes les citations de cet article seront tirées de cette édition : Jean Froissart, L’Espinette amoureuse, éd. A. Fourrier, Paris, Klincksieck…
Jean Froissart, L’Espinette amoureuse, éd. cit., p. 176, n. 209.
A. Planche, « Culture et contre-culture dans l’Épinette amoureuse de Jean Froissart », p. 399.
Jean Froissart, L’Espinette amoureuse, éd. cit., p. 177, n. 221.
Ibid., p. 176, n. 210.
J.-M. Mehl, Les Jeux au royaume de France du XIIIe au début du XVIe siècle, Paris, Fayard, 1990 (Nouvelles études historiques), p. 484.
R. Caillois, Les Jeux et les hommes : le masque et le vertige, Paris, Gallimard, 1967 (Folio. Essais, 125) (1re éd., 1958), p. 61-67.
Jean Froissart, L’Espinette amoureuse, éd. cit., p. 177, n. 226.
Ibid., p. 177, n. 233.
A. Planche, « Culture et contre-culture dans l’Épinette amoureuse de Jean Froissart », p. 399-400.
La dénomination « jeu de tables » est imprécise et peut désigner plusieurs jeux, cf. J.-M. Mehl, Les Jeux au royaume de France, p. 135-148. En tous…
Voici, dans l’ordre chronologique, les œuvres qui à notre connaissance citent le jeu : le Tournoi de Chauvency de Jacques Bretel, un jeu-parti…
Cf. E. Langlois, « Le jeu du Roi qui ne ment et le jeu du Roi et de la Reine », Romanische Forschungen, t. 23, 1907, p. 163-173 ; R. F. Green, « Le…
Cf. l’analyse de ce passage par H. Bellon-Méguelle, Du Temple de Mars à la chambre de Vénus, p. 373-398.
Cf. l’analyse de A.-M. Finoli, « Un giocco di società, “Le Roi qui ne ment” e le “demandes en amour” nel Chevalier errant di Tommaso III di Saluzzo…
L’édition de référence est Les Demandes d’amour, éd. M. Felberg-Levitt, Montréal, CERES, 1995 (Inedita & rara, 10), qui réunit un ensemble de 363…
Les Demandes d’amour, éd. cit., p. 380 (demande 334).
E. Langlois, « Le jeu du Roi qui ne ment », p. 172-173.
Ce jeu pourrait être mis en parallèle avec les jeux contemporains de type « action-vérité ».
R. F. Green, « Le Roi qui ne ment and Aristocratic Courtship », p. 213.
Guillaume de Machaut, Le Livre du Voir Dit, éd. P. Imbs, introd., coordination et révision J. Cerquiglini-Toulet, index des noms propres et…
Le Dit du prunier, éd. P.-Y. Badel, Genève, Droz, 1985 (Textes littéraires français, 334), p. 64, v. 706-707.
Comme mentionné plus haut, le catalogue contient aussi des adeviniaus, mais leurs thèmes plus triviaux les différencient du « Roi qui ne ment » et…
S. Patterson, « Sexy, Naughty, and Lucky in Love : Playing Ragemon le Bon in English Gentry Households », dans Games and Gaming in Medieval…
A. Planche, « Culture et contre-culture dans l’Épinette amoureuse de Jean Froissart », p. 391-392.
J.-M. Mehl, « Les jeux de l’enfance au Moyen Âge », p. 41.
Ibid., p. 40.
Ibid., p. 51.
Ibid., p. 53.
Ibid., p. 54.
Guillaume de Lorris, Le Roman de la Rose, éd. A. Strubel, Paris, Librairie générale française, 1992 (Le Livre de Poche, 4533 ‒ Lettres gothiques)…
Jean Froissart, Le Joli Buisson de Jonece, éd. A. Fourrier, Genève, Droz, 1975 (Textes littéraires français, 222), p. 202 : Puissedi au roy qui ne…
J.-M. Mehl, « Les jeux de l’enfance au Moyen Âge », p. 50.
B. Ribémont, « Les realia : un concept à définir », p. 161-163 ; M. Zink, Froissart et le temps, Paris, Presses universitaires de France, 1998 (…
M. Zink, Froissart et le temps, p. 152.
Ce sont d’ailleurs des aubépines qui à plusieurs reprises ramènent le narrateur de Du côté de chez Swann et À l’ombre des jeunes filles en fleurs à…
M. Zink, Froissart et le temps, p. 155.
Car jonece ne voelt qu’esbas/ Et Amours, en tous ses esbas (v. 19-20).
M. Zink, Froissart et le temps, p. 155.
Ibid., p. 16.
Cf. par exemple L. C. Brook, Two late medieval love treatises : Heloise’s « Art d’amour » and a collection of « Demandes d’amour », Oxford, Society…
Jean Froissart, L’Espinette amoureuse, éd. cit., p. 174, n. 159.
M. Zink, Froissart et le temps, p. 162.
Jean Froissart, L’Espinette amoureuse, éd. cit., p. 177, n. 231.
A. Delboulle, « Amantin, amentin. – Amenter ? », Romania, t. 12, 1883, p. 104-105.
J.-M. Mehl, « Les jeux de l’enfance au Moyen Âge », p. 43.
R. Caillois, Les Jeux et les hommes, p. 61.
Pour une analyse de ces deux voix qui se chevauchent, cf. W. Kibler, « Self-Delusion in Froissart’s Espinette amoureuse », Romania, t. 97, 1976, p.…
Ibid., p. 162.
Cf. M. Jeay, Le Commerce des mots, p. 340-341.
Cf. Jean Froissart, L’Espinette amoureuse, éd. cit., p. 175, n. 196.
M. Zink, Froissart et le temps, p. 165.
Georges Bataille, Œuvres complètes, V : La Somme athéologique, t. I, L’expérience intérieure. Digression sur la poésie et Marcel Proust, Paris…